Le 26 avril 1986, à Tchernobyl en
Ukraine, un réacteur de la centrale nucléaire a explosé, libérant des quantités
colossales de matières radioactives. Deux études ont été menées et publiées
dans Science. La première a étudié le génome de 130 enfants nés entre 1987 et
2002, ainsi que celui de leurs parents, exposés de très près aux rayonnements. Les résultats montrent que l’exposition aux
rayonnements n’a pas entrainé de changements génétiques sur la génération
suivante. Ces données sont rassurantes pour les personnes ayant été exposées à
Fukushima, en 2011.
En revanche, la seconde étude se focalise sur 359 sujets
exposés in utero ou durant leur enfance et ayant développé un cancer de la thyroïde.
Des dommages de l’ADN ont été observés. La
gravité de ceux-ci est proportionnelle à la quantité de rayonnement reçu et au
jeune âge au moment de l’exposition.
Source(s) :
Sciences, publié le 22/04/2021 ;
Sciences, publié le 22/04/2021 ;
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