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Des études menées chez l’animal ont suggéré que les prébiotiques dérivés de plantes pourraient améliorer la communication le long de l’axe microbiote-intestin-cerveau. Des chercheurs ont ici testé cette hypothèse chez l’homme. Ils ont évalué les effets des fibres prébiotiques fortement dosées sur la prise de décision alimentaire liée à la récompense, sur 59 jeunes adultes en surpoids. Certains ont reçu 30 g/j d’inuline pendant 14 jours et d’autres l’équivalent en calories d’un placebo. Les taux sanguins à jeun des acides gras à chaîne courte, des hormones gastro-intestinales, du glucose, des lipides et des marqueurs inflammatoires sont restés globalement inchangés. En revanche, le microbiote avait significativement changé entre les deux groupes, en particulier les Bifidobacteriaceae productrices d'acides gras à chaîne courte.

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