Revues de presse
12/04/2021
Reprendre une vie normale dès l’automne grâce à la vaccination ?
Infectiologie
Source(s) :
Institu Pasteur, le 06/04/2021 ;

12/04/2021
Le groupe sanguin ne jouerait finalement aucun rôle dans l’infection à la Covid-19
Infectiologie
Source(s) :
JAMA, publié le 05/04/2021 ;

06/04/2021
Le variant Henri Mondor, un nouveau variant découvert à l’APHP
Infectiologie
Source(s) :
Emerging infectious disesase, publié le 30/03/2021 ;

06/04/2021
Cancer du sein, un nouveau gène identifié
Oncologie
Source(s) :
Nature Communication, publié le 26/03/2021 ;

30/03/2021
La crise sanitaire transforme durablement l’organisation des congrès médicaux
Santé publique et médecine sociale
Source(s) :
Les echos, publié le 24/03/2021 ;

30/03/2021
Un nouveau test facile, rapide et peu couteux pour le Covid-19
Allergologie et Immunologie
Source(s) :
Nature Communication, publié le 29/03/2021 ;

19/03/2021
Le virus SRAS-CoV-2 logé dans le cœur de patients décédés.
Cardiologie et Médecine vasculaire
Source(s) :
Science, publié le 17/03/2021 ;

19/03/2021
Recréer un embryon au laboratoire au stade blastocyte
Biologie Médicale
Source(s) :
Science, publié le 17 mars 2021 ;

05/03/2021
Digitalisation des essais cliniques pour plus de rapidité
Santé publique et médecine sociale
- Une start-up, Health Tech Station, basée à Tours a développé un logiciel de simulation d’un nouveau genre. Celui-ci simule l’interaction d’un anticorps avec son antigène, grâce au deep-learning. Deux semaines de calculs avec ce logiciel remplacent 6 à 12 mois d’essais biologiques. Ces essais virtuels, in silico, seraient capables de remplacer les essais habituels, in vitro.
- Une start-up parisienne, Iktos, utilise l’intelligence artificielle pour prédire l’efficacité de molécules. Ainsi, les étapes de screening de molécules sont accélérées.
- Une start-up lyonnaise, NovaDiscovery, propose de simuler sur un organisme virtuel une maladie et son traitement.
Source(s) :
L'usine Nouvelle, publié le 04 mars 2021 ;

11/03/2021
Prédire le Covid long ?
Allergologie et Immunologie
- ≥ 28 jours pour 558 patients (13,3 %),
- ≥ 8 semaines pour 189 patients (4,5 %),
- ≥ 12 semaines pour 95 patients (2,3 %).
Les symptômes rapportés par les patients souffrant de Covid long sont de la fatigue, des maux de tête, des dyspnées et l’anosmie. Les patients les plus à risque de faire un Covid long sont les personnes plus âgées, les personnes avec un IMC élevé ou bien les personnes de sexe féminin.
Les auteurs ont observé que :
- Si durant la première semaine de la maladie le patient a eu plus de 5 symptômes, il a plus de chances de faire un Covid long.
- Les symptômes les plus prédictifs d’un Covid long étaient : de la fatigue, des maux de tête, de la dyspnée, une voix enrouée et des douleurs musculaires.
Les auteurs ont créé un modèle prédictif comprenant les symptômes observés durant la 1ière semaine, des données personnelles et les comorbidités. Ce modèle permet de prévoir au jour 7 si le patient va faire un Covid long ou non. Il pourrait être un outil précoce d’aide à la prise en charge des patients Covid.
Source(s) :
Nature Medecine, publié le 10 mars 2021 ;

11/03/2021
Un essai clinique de phase zéro utilisant l’ARN interférent pour traiter les glioblastomes
Oncologie
L’ARN interférent utilisé ici cible l’oncogène Bcl2L12. Des études toxicologiques ont d’abord été réalisées chez des singes. Puis, un essai chez l’homme a été mené. Une faible dose de NU-0129 a été administrée chez 8 patients atteints de GBM récurrent. NU-0129 est capable de passer la barrière hemato-encéphalique et s’accumule dans la tumeur. Le niveau de protéine Bcl2L12 a également diminué. Ces résultats sont encourageants pour le traitement du glioblastome.
Source(s) :
Science Translationnal Medecine, publié le 10/03/2021 ;

12/03/2021
Vaginose bactérienne et infertilité
Gynécologie et Obstétrique
- Une étude a montré que la vaginose bactérienne est fortement liée à l'infertilité tubaire.
- Dans un groupe de femmes toutes infertiles, la vaginose bactérienne était présente chez 31,5 % de femmes atteintes d'une infertilité tubaire et 19,7 % des femmes atteintes d'une autre infertilité.
- La vaginose bactérienne est 3,3 fois plus élevée chez les femmes infertiles que chez les femmes en fin de grossesse selon une étude.
Un traitement de la vaginose bactérienne pourrait améliorer les chances de concevoir.
Source(s) :
American Journal of Obstetrics and Gynecology, publié le 10/03/2021 ;
