Une équipe danoise s’est intéressé au lien entre l’usage de certains médicaments et l’apparition d’un lupus érythémateux cutané ou disséminé, dans une étude de cas-témoin.
Entre 2000 et 2017, 3148 patients ayant nouvellement développé un lupus érythémateux ont été inclus dans l’étude, et comparé à 31480 témoins. Il apparait que jusqu’à 30% des lupus érythémateux cutanés et 15% des lupus érythémateux disséminés pourraient être d’origine médicamenteuse. Une dizaine de classes thérapeutiques, incluant plus de 100 médicaments, seraient impliquées. Parmi eux, on note le chlorhydrate de fexofénadine , la lévothyroxine sodique et le chlorhydrate de métronidazole.
Les résultats de cette étude ont mis en évidence la possibilité de survenue de lupus chimio-induits , ce dont les médecins devraient être informés.
Entre 2000 et 2017, 3148 patients ayant nouvellement développé un lupus érythémateux ont été inclus dans l’étude, et comparé à 31480 témoins. Il apparait que jusqu’à 30% des lupus érythémateux cutanés et 15% des lupus érythémateux disséminés pourraient être d’origine médicamenteuse. Une dizaine de classes thérapeutiques, incluant plus de 100 médicaments, seraient impliquées. Parmi eux, on note le chlorhydrate de fexofénadine , la lévothyroxine sodique et le chlorhydrate de métronidazole.
Les résultats de cette étude ont mis en évidence la possibilité de survenue de lupus chimio-induits , ce dont les médecins devraient être informés.
Source(s) :
Article JAMA - doi:10.1001/jamadermatol.2020.2786 , publié le 2 septembre ;
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