Le cancer du poumon à petites
cellules est associé à un pronostic défavorable. La chimio-immunothérapie a
récemment contribué à améliorer le pronostic de ce cancer à un stade avancé,
mais aucun biomarqueur fiable ne permet de prédire les résultats du traitement.
Cette étude rétrospective chinoise a été menée sur 341 patients, suivis sur une
période médiane de 12,1 mois. Les chercheurs ont proposé un modèle prédictif
basé sur huit caractéristiques radiomiques pour évaluer le risque de résistance
à la chimio-immunothérapie combinée. En y ajoutant les caractéristiques
cliniques du patient, les chercheurs ont pu améliorer l’efficacité prédictive
de leur score. Ils ont ainsi pu déterminer le pronostic des patients, en termes
de survie et de réponse au traitement.
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