20/02/2024
La naltrexone chez la femme enceinte
Gynécologie et Obstétrique
Dans cette étude prospective de
cas, 7 femmes enceintes dépendantes aux opioïdes (4 femmes) ou à l’alcool (3
femmes) étaient traitées par la naltrexone à libération prolongée. Elles ont
été suivies tout au long de leur grossesse (âge gestationnel moyen à
l’inclusion 21.7 semaines) et jusqu’à 12 mois après l’accouchement. Aucune des
femmes de l’étude n’a repris l’usage des opioïdes, tandis que deux femmes ont
repris l’usage de l’alcool. Toutes les femmes ont accouché par voie vaginale à
un âge gestationnel moyen de 37 semaines. 71,4 % des participantes étaient
toujours traitées par la naltrexone 12 mois après l’accouchement. Aucune
anomalie fœtale n’a été observée et aucun accouchement prématuré recensé. Aucun
nourrisson n’a développé de syndrome de sevrage néonatal aux opioïdes.

Dernières revues
Réalité virtuelle : une arme contre la stigmatisation ?

Par Ana Espino | Publié le 16 septembre 2025| 3 min de le...
Comment nos cellules neutralisent les ARN toxiques

Par Lila Rouland | Publié le 16 septembre 2025 | 3 min de lecture
Arthrose et Ayurveda : l’équilibre retrouvé ?

Par Ana Espino | Publié le 17 septembre 2025| 3 min de le...